Vendredi saint Boris Starling pdf francais - Des petites cuillères en argent... Au rythme où vont les choses, le commissaire Red Metcalfe, de Scotland Yard, en aura bientôt un service complet. Mais pas question de les sortir pour le thé : ce sont des pièces à conviction. Détail étrange, chacune a été trouvée... dans une bouche. Plus précisément : dans la bouche sans langue d'une victime. De découvertes macabres en fausses pistes, la psychose gagne Londres, amplifiée par les médias. Depuis, Jack l'éventreur, la capitale anglaise n'avait pas connu de meurtrier aussi déterminé, aussi insaisissable. D'autant que « Langue d'Argent » semble agir au hasard, garnissant son tableau de chasse d'un traiteur, d'un évêque, d'un militaire... Où un poignard pourrait suffire, le psychopathe varie en outre les plaisirs : corde, massue, épée... A quel mobile obéit ce virtuose, dont la folie n'a d'égale que l'habileté ? En l'absence totale d'indices, quel détail le trahira ? Telles sont les questions posées au commissaire Metcalfe, auquel il faudra, pour pénétrer dans le cerveau dément du tueur, user de toutes ses ressources.Ce meurtre ne ressemble à rien. Voilà ce que pense le commissaire Red Metcalfe, de Scotland Yard, en découvrant un premier cadavre, celui d'un homme à qui on a coupé la langue et glissé une cuillère à thé en argent dans la bouche… Ce sera la signature du plus terrible assassin que Londres ait connu depuis Jack l'éventreur. Un tueur innommable qui multiplie les modes opératoires, semble choisir ses victimes au hasard, ne laisse aucun indice – hormis ces troublantes petites cuillères – et démontre une incroyable habileté à déjouer tous les pièges qui lui sont tendus par une police littéralement déboussolée. La terrible psychose qui gagne la cité londonienne n'arrange pas les affaires de Red Metcalfe. Pour stopper la folie meurtrière de "langue d'argent", il devra pénétrer les méandres du cerveau de l'assassin et prendre quelque liberté avec la loi pour tenter de parvenir à ses fins.
Terrible. Aux États-Unis et en Angleterre, ce thriller pas tout à fait comme les autres a déjà été comparé à Seven et au Silence des agneaux, ce qui n'est pas peu dire. Violent, malsain, presque diabolique, ce roman n'est pas à mettre entre toutes les mains tant il terrorise. L'utilisation du présent renforce la proximité: le lecteur a l'impression de vivre les crimes et l'enquête en temps réel. Le nombre de fausses pistes est un record du genre, les personnages parfaitement campés, la ville elle-même fait peur. Il faut avoir le cœur bien accroché pour lire ce très brillant roman qui prend au ventre et hypnotise jusqu'à un dénouement exceptionnel… --Bruno MénardDes petites cuillères en argent... Au rythme où vont les choses, le commissaire Red Metcalfe, de Scotland Yard, en aura bientôt un service complet. Mais pas question de les sortir pour le thé : ce sont des pièces à conviction. Détail étrange, chacune a été trouvée... dans une bouche. Plus précisément : dans la bouche sans langue d'une victime. De découvertes macabres en fausses pistes, la psychose gagne Londres, amplifiée par les médias. Depuis, Jack l'éventreur, la capitale anglaise n'avait pas connu de meurtrier aussi déterminé, aussi insaisissable. D'autant que « Langue d'Argent » semble agir au hasard, garnissant son tableau de chasse d'un traiteur, d'un évêque, d'un militaire... Où un poignard pourrait suffire, le psychopathe varie en outre les plaisirs : corde, massue, épée... A quel mobile obéit ce virtuose, dont la folie n'a d'égale que l'habileté ? En l'absence totale d'indices, quel détail le trahira ? Telles sont les questions posées au commissaire Metcalfe, auquel il faudra, pour pénétrer dans le cerveau dément du tueur, user de toutes ses ressources.Rang parmi les ventes Amazon: #112204 dans eBooksPublié le: 2016-06-08Sorti le: 2016-06-08Format: Ebook KindlePrésentation de l'éditeurDes petites cuillères en argent... Au rythme où vont les choses, le commissaire Red Metcalfe, de Scotland Yard, en aura bientôt un service complet. Mais pas question de les sortir pour le thé : ce sont des pièces à conviction. Détail étrange, chacune a été trouvée... dans une bouche. Plus précisément : dans la bouche sans langue d'une victime. De découvertes macabres en fausses pistes, la psychose gagne Londres, amplifiée par les médias. Depuis, Jack l'éventreur, la capitale anglaise n'avait pas connu de meurtrier aussi déterminé, aussi insaisissable. D'autant que « Langue d'Argent » semble agir au hasard, garnissant son tableau de chasse d'un traiteur, d'un évêque, d'un militaire... Où un poignard pourrait suffire, le psychopathe varie en outre les plaisirs : corde, massue, épée... A quel mobile obéit ce virtuose, dont la folie n'a d'égale que l'habileté ? En l'absence totale d'indices, quel détail le trahira ? Telles sont les questions posées au commissaire Metcalfe, auquel il faudra, pour pénétrer dans le cerveau dément du tueur, user de toutes ses ressources.Amazon.frCe meurtre ne ressemble à rien. Voilà ce que pense le commissaire Red Metcalfe, de Scotland Yard, en découvrant un premier cadavre, celui d'un homme à qui on a coupé la langue et glissé une cuillère à thé en argent dans la bouche… Ce sera la signature du plus terrible assassin que Londres ait connu depuis Jack l'éventreur. Un tueur innommable qui multiplie les modes opératoires, semble choisir ses victimes au hasard, ne laisse aucun indice – hormis ces troublantes petites cuillères – et démontre une incroyable habileté à déjouer tous les pièges qui lui sont tendus par une police littéralement déboussolée. La terrible psychose qui gagne la cité londonienne n'arrange pas les affaires de Red Metcalfe. Pour stopper la folie meurtrière de "langue d'argent", il devra pénétrer les méandres du cerveau de l'assassin et prendre quelque liberté avec la loi pour tenter de parvenir à ses fins. Terrible. Aux États-Unis et en Angleterre, ce thriller pas tout à fait comme les autres a déjà été comparé à Seven et au Silence des agneaux, ce qui n'est pas peu dire. Violent, malsain, presque diabolique, ce roman n'est pas à mettre entre toutes les mains tant il terrorise. L'utilisation du présent renforce la proximité: le lecteur a l'impression de vivre les crimes et l'enquête en temps réel. Le nombre de fausses pistes est un record du genre, les personnages parfaitement campés, la ville elle-même fait peur. Il faut avoir le cœur bien accroché pour lire ce très brillant roman qui prend au ventre et hypnotise jusqu'à un dénouement exceptionnel… --Bruno MénardPrésentation de l'éditeurDes petites cuillères en argent... Au rythme où vont les choses, le commissaire Red Metcalfe, de Scotland Yard, en aura bientôt un service complet. Mais pas question de les sortir pour le thé : ce sont des pièces à conviction. Détail étrange, chacune a été trouvée... dans une bouche. Plus précisément : dans la bouche sans langue d'une victime. De découvertes macabres en fausses pistes, la psychose gagne Londres, amplifiée par les médias. Depuis, Jack l'éventreur, la capitale anglaise n'avait pas connu de meurtrier aussi déterminé, aussi insaisissable. D'autant que « Langue d'Argent » semble agir au hasard, garnissant son tableau de chasse d'un traiteur, d'un évêque, d'un militaire... Où un poignard pourrait suffire, le psychopathe varie en outre les plaisirs : corde, massue, épée... A quel mobile obéit ce virtuose, dont la folie n'a d'égale que l'habileté ? En l'absence totale d'indices, quel détail le trahira ? Telles sont les questions posées au commissaire Metcalfe, auquel il faudra, pour pénétrer dans le cerveau dément du tueur, user de toutes ses ressources.
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